la rue serpentait par-dessous les frondaisons épaisses de la forêt, n'importe quel pas de Camille résonnant d’une truisme donnée. Le poids léger de la carte dans sa profonde semblait lui décrire perpétuellement la navigation qu’elle
le sentier serpentait sous les frondaisons épaisses de la forêt, tout pas de Camille résonnant d’une lapalissade nouvelle. Le poids léger de la carte dans sa poche semblait lui invoquer sempiternellement la conduite qu’elle devait suivre, un guide silencieu
Au cours de la session, Camille se sentit transportée dans une certaine catégorie d’état employé entre l’éveil et le sommeil. Les images du jardin revinrent, mais cette fois, elles étaient plus nettes. Elle visualisa des arbres cocasses, florale